Élodie Parcours DUne Ado En Chaleur - Partie 26
<On se retrouve aux bains ? Demande salle coin>
Élodie connaît bien le lieu où ses amis linvitent à les rejoindre. Elle sy rend, le cur un peu plus léger à lidée de retrouver ses loulous.
La jeune brunette se rend au hammam tenu par loncle de Enzo, lesprit toujours hanté par le regard perçant de Danny, mais soulagée de retrouver ces hommes, elle ne peut sempêcher de repenser au message éphémère du portugais.
« La salle du coin ? Bien sûr quelle va prendre la salle la plus éloignée, de lentrée, celle dans le coin du bâtiment, la plus tranquille de toutes. Pourquoi a-til eut besoin de le spécifier ?
-Bref ! Sans vraiment y penser, elle entre.
Élodie ne reconnaît pas lhomme qui tient la caisse du hammam, apparemment un quinquagénaire trapu à la dégaine patibulaire. Le cheveux gras, la barbe hirsute, le regard fuyant, elle le dérange apparemment. Curieuse, elle aperçoit par réflexion un écran lumineux caché derrière le comptoir.
« Il doit mâter un film pour passer le temps ! » Le jeune fille pense comprendre pourquoi Enzo a tenu à préciser quelle salle demander à laccueil. Si le caissier ne la connaît pas, il ne saura pas quil doit réserver la salle du fond au neveu de son patron et à ses amis.
La petite brunette tend sa carte bancaire et demande un accès au bain et une serviette. Elle précise à lhomme, apparemment surpris, quelle souhaite accéder à la salle du coin. La réaction du barbu étonne un peu Élodie mais sans plus, il doit être plus habitué à recevoir le trio de garçons, et comme il ne la jamais vue, il va sûrement fantasmer sur ce que les trois jeunes vont faire avec un si joli petit lot.
La pensée fait sourire ladolescente qui att la petite serviette blanche et passe le tourniquet daccès au vestiaire. Elle se met à poil, dépose ses fringues, son sac et ses lunettes dans le casier avant de senvelopper dans la minuscule serviette :
-Oh putain ! Il ma filé une serviette d ou quoi ?
Elle narrive pas à lattacher autour de sa poitrine, et elle couvre tout juste son derrière, mais Élodie na pas la foi de se rhabiller pour aller en réclamer une plus grande.
Lorsquelle sengouffre dans la pièce, elle est prise à la gorge par la lourde atmosphère chaude et saturée de vapeur deau en suspension. Assurée de nêtre quavec ses amis, elle dépose sa mini serviette sur le crochet de lentrée. Sa myopie naidant pas elle ne voit absolument rien devant elle, sinon un nuage opaque et blanc.
À tâtons, elle traverse la pièce pourtant familière, elle ne veut pas se cogner dans le petit bassin deau froide au centre de la salle. Une fois le puits repéré, elle se dirige dans le coin au fond à droite pour y attendre, allongée et détendue, larrivée de ses potes.
Latmosphère moite, la lourdeur de lair parfumée quelle respire la détend enfin, après cette journée chargée en tension sexuelle depuis son réveil. Dans une torpeur bienvenue, elle se remémore la bite de son beau-père, les talents de son voisin, le regard de ses collègues, quand soudain le regard de prédateur la sort de sa torpeur.
Le regard perçant la hante et la perturbe, le simple fait dy penser la ramène quelques heures auparavant à faire face au « bad boy » baraqué et tatoué. Elle soupire, le ventre gagné par une douce chaleur interne, elle se mord doucement la lèvre inférieure en soupirant. Sa main, en pilote automatique, glisse du bout des doigts le long de sa peau glissante de sueur.
-HUN
.
Son index et son majeur droits appuient doucement sur ses lèvres vaginales en manque de queue. La gorge sèche, le cur lourd de désir, le ventre gonflé de plaisir, et les reins légèrement cambrés, elle les écarte en douceur et commence à faire rouler son clitoris gonflé sous ses doigts habiles.
Elle emprisonne son téton gauche déjà bandé et très sensible entre le pouce et lindex de sa main libre, et létire avant de le rouler entre ses doigts.
-HUN
. Ouiiii
. Oooooohhhhh
.
Elle vient de senfoncer deux doigts dans la chatte et commence à se branler en douceur tout en étirant et en pinçant son mamelon enflé et sensible.
FOUIC
. FOUIC
. FOUIC
.
Elle prend bien son temps pour glisser ses doigts entre les muqueuses déjà trempés de son vagin aux abois.
-HUMPH
.Ouiiii
.
Elle croise ses cuisses sur sa main et empoigne fermement son nichon en se cambrant de plaisir sur le banc froid couvert de petits carreaux de céramique. « Oh une bonne queue, putain ! » Elle enfourne un troisième doigt en elle dans lespoir de combler ce besoin animal de se faire monter par une bonne queue bien dure.
Elle fouille adroitement les moindres recoins de sa vulve gluante et éveille en elle tous les points sensibles quelle connaît pour assouvir son plaisir charnel. Prisonnière de ses sens, elle nentend pas les hommes passer la seuil de la pièce embrumée.
***
Pendant quÉlodie se détend dans la salle du fond, Alain, Marco, Elder et Josué, quatre maçons travaillant sur le chantier du père dEnzo se félicitent davoir enfin pu rendre la monnaie de sa pièce à ce petit con dEnzo.
Le gamin, qui se sent protéger par son père fait beaucoup trop le con avec ses potes à leur goût, mais ce soir, ils sont parvenu à les faire bosser au moins une heure de plus, alors ils viennent se détendre un peu avant de rentrer semmerder avec leurs vielles.
-Salut totor ! Alors quest ce que tu as pour nous ce soir mon vieux ? Demande lexubérant Marco au gérant du hammam.
Le vieux Victor, qui a fait lacquisition de létablissement thermal auprès du père dEnzo, eut tôt fait dinstaller des caméra dans les pièces de bain, pour en faire des zones de rencontre et dexhibition pour son plaisir et celui de ses clients.
-Cest plutôt calme ce soir ! Y a bien la salle du fond, mais bon, jai pas vérifié ! Jai une grosse touze dans la salle rose !
-Bof une partouze, on va voir la salle bleue ? Demande Marco à ses collègues.
-Ouais allez ! Bon on va au fond du coup ! Répondent Elder et Josué en cur.
Alain se contente dun « GRUMPH » et suit ses potes.
***
-Bon jespère quElo a bien reçu mon nouveau message ! Essaye de se rassurer Enzo.
Le jeune portugais la mauvaise, il vient de se rendre compte que le correcteur automatique de son smartphone a altérer le message quil avait envoyé rapidement à Élodie. Il sest fait cueillir par le contremaître qui avait interdit tout téléphone portable sur le chantier.
-Putain tu crains quand même ! Renchérit Quentin, avant de se moquer de son pote ; « Demande salle coin » au lieu de « Diamond Soul Coin », faut pas être net !
-Ouais, je sais pas qui est le pire, ton père pour un nom aussi pourri, ou toi pour avoir merder le message pour Elo !
-Faites pas chier ! Dégaine Enzo à court darguments face à Mathieu et Quentin ; au pire on verra dans une heure, quand on la rejoindra !
Et les trois amis se remettent au boulot en espérant avoir prévenu le belle brune à temps.
***
Dans la salle rose complètement obscurcie par la vapeur épaisse et opaque, Élodie, dans son extase, devine tout juste les mouvements du quatuor de maçons. Persuadée que ce sont ses potes, elle narrête même pas de se faire du bien : « Enfin de bonnes bites, et pour moi toute seule en plus ! »
Décidée à faire une surprise à Quentin, Enzo et Mathieu, elle se masturbe avec vigueur tout en étouffant du mieux quelle le peut, les soupirs de plaisir qui parcourent son corps en spasmes presque incontrôlables.
Les bruits de pas nus sur le carrelage de céramique rose et blanche, la proximité de ses mâles qui ne savent peut-être pas quelle est déjà là, nue, et excitée à les attendre trois doigts coulissants entre ses lèvres humides dexcitation, augmentent la pression sexuelle qui a oppressée la jeune fille toute la journée.
Élodie soupire dans la brume du hammam, elle veut conserver leffet de surprise pour ses amis et amants, mais elle veut être prête à encaisser les assauts de leurs bites vigoureuses. La main droite plantée dans la chatte, les yeux mi-clos, la main libre massant son sein gauche, elle se mordille la lèvre inférieure
Elle sort les doigts de sa vulve, les porte à sta bouche et se délecte en douceur de ses jus avant de replonger les doigts entre ses lèvres gluantes. Elle porte ensuite son majeur gauche à ses lèvres et le suce en anticipant l'arrivée de ses potes.
Une fois le doigt lubrifié, elle se tourne légèrement sur le côté pour les distinguer dans la vapeur. La gamine aperçoit tout juste les formes se dessiner à travers la lumière diffuse, les formes estompées des hommes entrant dans la pièce forment un conglomérat de chair gris dans le contre jour de la port ouverte.
Élodie anticipe déjà les mains sur son corps, les doigts inquisiteurs fouillant ses trous humidifiés, les langues léchant sa peau couverte de sueur doucement salée. Ces idées la rendent folle dexcitation, son majeur humide glisse sur la peau humide et en sueur. Elle écarte une cuisse pour exposer son minou tout lisse et éclos comme une fleur prête à se faire butiner.
Le bassin tendu, elle lève un pied et passe sa main gauche entre les lobes fessiers. De sa main droite elle se masse le clitoris de mouvements doux, amples et circulaires. Son majeur glisse entre les fesses rebondies se contractant puis se relâchant en spasmes de désir. Gourmande, elle débusque son petit trou strié, serré et hyper sensible.
De nouvelles vagues de plaisir explosent par intermittence dans le creux de son ventre, pour se répandre jusqu'à la pointe des seins, gonflés et bandés comme des petites bites.
Le bout de son doigt s'immisce dans le conduit tout serré de sa gaine anale, alors que deux doigts fouillent l'entrée de ta vulve glissante. Elle soulève son bassin, ondule sur le carrelage frais faisant contraste avec la vapeur chaude qui l'entoure
La jeune fille joue de ses doigts lubrifiés et les plante au plus profond de sa chatte en chaleur, en coordination avec le majeur frétillant dans son anus gourmand. Malgré la chaleur de la vapeur ambiante, elle frémit dexcitation pour la partouze anticipée.
***
Complètement inconscients de la présence de la jeune fille dans la salle rose, les quatre compères saventurent de concert dans lépais brouillard qui envahit toujours la pièce. Persuadés dêtre seuls, Marco, Elder et Josué plaisantent sur le sort des trois gamins bloqués une heure de plus sur le chantier.
Les bruits étouffés de leurs rires parviennent tout juste aux oreilles de ladolescente qui, dans son extase montante, distingue tout juste trois mâles en train de plaisanter ; « HUM, cest ça mes loulous, venez baiser votre petite Elo aux trous gourmands de vos belles queues ! »
De son côté, Alain, le solitaire de la bande, laisse ses trois collègues faire leurs ablutions deau froide aux abords du puits planté au milieu de la pièce.
SPLOSH
.
-Oh putain quest ce quelle est froide la vache ! Sesclaffe Marco, dans un rire sans retenue.
-Eh Alain ? Tes où vieux ? Sinquiète Elder, quand tout à coup
. SPLOSH
. Mais tes con ou quoi Marco ?
-Cest bon les gars lâchez moi un peu !
« Marco, Alain ? Mais quest ce que
? » Élodie est soudain coupée dans sa jouissance naissante. Au moins trois hommes inconnus sinterposent entre elle et la sortie de la salle rose. Elle réalise que ce ne sont absolument pas ses potes qui viennent de se joindre à elle dans lépaisse vapeur deau.
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Ecrit en collaboration avec le génialissime auteur pervers HDS : Silveradd
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